Полине Тургеневой - Письма (1855--1858) - Мемуары и переписка- Тургенев Иван Сергеевич

Первая половина июля ст. ст. 1856. Спасское Tu me grondes, Paulinette, de ne t'avoir pas êcrit - et tu as raison - mes occupations ne sont pas une excuse. Enfin, si cela peut te faire plaisir, je t'embrasse comme si c'êtait le jour de l'an. Mais ce qui, j'en suis sûr, te rendra encore plus contente, c'est de savoir que nous nous reverrons (si Dieu nous prête vie) - vers le milieu du mois d'août1.-- Je ne doute pas le moins du monde que je serai content de toi sous tous les rapports - et que Mme Harang n'aura que des bonnes choses à me dire sur ton compte.-- Tu dois savoir - puisque tu deviens dêjà grande, comme tu le dis - qu'il n'y a qu'un bon temps à travailler - c'est le temps quand on est jeune 2. Travaille donc comme il faut et puis nous nous amuserons à Courtavenel pendant les vacances.-- En attendant je t'embrasse de bon cœur et suis

ton bien affectionnê père

J. T.

Иван Тургенев.ру © 2009, Использование материалов возможно только с установкой ссылки на сайт